par Et la vie reprit son cours, avec ses hauts et ses bas. De nouvelles personnes vinrent s'ajouter avec succès à la petite communauté qui prospéra, solide, forte jusque dans sa vulnérabilité. Les jours s'écoulaient, paisibles bien qu'entrecoupés de guerres qui ne secouaient pas le coeur des gens liés entre eux.
Elzegor n'avait que peu de temps à elle, s'occupant sans cesse de chacun de son mieux ainsi que des affaires du clan dont elle était la garante. Elle prenait l'énergie là où elle se trouvait, partout autour d'elle. Dans l'air qu'elle respirait, dans le sourire des ses compagnons, dans leurs affres aussi. Dans le regard qu'elle portait à tout ce qui changeait autour d'elle, mouvement incessant de la vie.
Les semaines et les mois passèrent, sans qu'elle ait besoin ou nécessité de les compter. Elle pensait à Asaph régulièrement, étant heureuse qu'il comble ses besoins d'aventures et ressentant en permanence la qualité du lien qui les unissait par delà les distances et les pays.
Puis vint un moment où les rêves de ses nuits prirent une orientation nouvelle. Asaph était là et il lui parlait, la pressait de faire quelque chose. Elle se mit à marcher dans son sommeil et se retrouva plus d'une fois s'éveillant brusquement dans le laboratoire d'Asaph avec un sentiment d'inachèvement tenace qui perturbait sa journée.
Au fil des nuits, les rêves se faisant de plus en plus préçis et intenses, elle en vint à installer sa couche dans le laboratoire, prête, sans impatience.
Cette nuit là...
Elzegor n'avait que peu de temps à elle, s'occupant sans cesse de chacun de son mieux ainsi que des affaires du clan dont elle était la garante. Elle prenait l'énergie là où elle se trouvait, partout autour d'elle. Dans l'air qu'elle respirait, dans le sourire des ses compagnons, dans leurs affres aussi. Dans le regard qu'elle portait à tout ce qui changeait autour d'elle, mouvement incessant de la vie.
Les semaines et les mois passèrent, sans qu'elle ait besoin ou nécessité de les compter. Elle pensait à Asaph régulièrement, étant heureuse qu'il comble ses besoins d'aventures et ressentant en permanence la qualité du lien qui les unissait par delà les distances et les pays.
Puis vint un moment où les rêves de ses nuits prirent une orientation nouvelle. Asaph était là et il lui parlait, la pressait de faire quelque chose. Elle se mit à marcher dans son sommeil et se retrouva plus d'une fois s'éveillant brusquement dans le laboratoire d'Asaph avec un sentiment d'inachèvement tenace qui perturbait sa journée.
Au fil des nuits, les rêves se faisant de plus en plus préçis et intenses, elle en vint à installer sa couche dans le laboratoire, prête, sans impatience.
Cette nuit là...
